Le temps passe, la poésie s’étiole, on s’étiole, jusqu’à ce qu’on n’en puisse plus. Quelque chose a changé ! Tout au fond du fond, cette chose gonfle. S’étire. Prend de la place. S’enroule le long de la colonne vertébrale. Deux personnages se font face. Malmenée par les limites du langage, leur compréhension du monde se heurte à l’altérité. Un fossé se creuse : la poésie versus l’absolument clair. Dans les intervalles, des silences. Une inexorable solitude ?
Carte blanche à Hanna Schiesser & Maeva Rubli pour les illustrations.
À chacune des propositions correspond un chapitre de la pièce.
Merci à elles pour leur travail et leur sensibilité. <3